
Je reviens ici par l’endroit d’où je vous avais quitté : l’OM. Et, même s’il est loin maintenant, par un des derniers dont j’avais parlé ici : Marcelo Bielsa.
Je reviens ici par l’endroit d’où je vous avais quitté : l’OM. Et, même s’il est loin maintenant, par un des derniers dont j’avais parlé ici : Marcelo Bielsa.
Une tonne de ola et de hourras pour les joueurs du Grenoble Foot 38, qui ont ce dimanche soir éliminé de la Coupe de France les champions d’automne de la Ligue 1, l’Olympique de Marseille.
Durant quatre-vingt-dix minutes, et malgré des baisses de rythme bien compréhensibles, jamais ils n’ont parus inconsidérément dépassés par les Marseillais.
Ce jeudi avait lieu la première rencontre du nouvel entraîneur marseillais avec la presse. Un moment à la fois simple et tout à fait surréaliste. Retour.
(De Marseille) « Oh, c’est un évènement ! », entendait-on devant l’entrée du centre Robert-Louis Dreyfus. Une heure avant les conférences de presse d’avant-match, les journalistes se retrouvaient aux portes du siège du club, la Commanderie, qui en est aussi le centre d’entrainement.
A quelques jours du lancement de la saison 2014-2015 de Ligue 1 de football, celui qui fait le plus de bruit dans le mercato de l’OM n’est pas un joueur. C’est l’entraîneur. Décryptage du phénomène.
(De Marseille) « Bielsa dans tous ses états » (La Provence), « Les promesses de Bielsa » (Les Dernières Nouvelles d’Alsace), « Bielsa les séduit tous » (Le Phocéen), « Marco Bielsa mène sa révolution » (Sud-Ouest).